Jusqu'ici ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal devient ce mardi 9 janvier Premier ministre. Il succède à Élisabeth Borne, qui a présenté la veille la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron.
Pas de meilleure source pour l’instant, désolé de vous infliger bfmtv, quelqu’un a le résumé de son parcours ?
Gabriel Nissim Attal naît le 16 mars 1989 à Clamart dans une famille aisée[2],[3],[4].
Son père, Yves Attal, avocat puis producteur de cinéma[5],[6],[3], est d’origine juive tunisienne et sa mère, Marie de Couriss[7], salariée d’une société de production[8], est de confession chrétienne orthodoxe[9] et descend d’une famille de Russes blancs d’Odessa[10] d’origine grecque[11].
Il grandit dans les 13e et 14e arrondissements de Paris auprès de ses trois sœurs.
Il ajoute, à titre d’usage, le nom de sa mère à son patronyme et se fait appeler Gabriel Attal de Couriss[12]. Il étudie à l’École alsacienne[5], où il côtoie la chanteuse Joyce Jonathan[13]. Il développe une inimitié avec un autre camarade de classe, Juan Branco[14].
Il est admis en 2007 à l’Institut d’études politiques de Paris, où il obtient en 2013 un master 2 en affaires publiques. Il suit également une licence de droit à l’université Panthéon-Assas[15].
Je précise pas pour la qualité des études mais surtout pour montrer lethnocentrie, le réseau, ce genre de choses.
L’école alsacienne cest le pognon qui compte, pas plus.
Je ne sais pas si c’est très différents de toutes les écoles en France. On ne force pas la mixité sociale, toutes les écoles regroupent finalement une catégorie sociale en lien avec le territoire dans lesquels elles sont implantées.
Pas à Paris… Il y a finalement pas mal de HLM un peu partout dans Paris, et la mixité sociale peut être assez “extrême” dans certaines écoles, au sens où tu vas des classes populaires à la petite bourgeoisie (celle qui se pense classe moyenne “sup”), sans passer trop de temps dans la classe moyenne (proportionnellement à ce qu’elle représente dans la population générale). Techniquement, en terme de population dans le “territoire”, il y a moyen d’avoir une grosse mixité sociale à Paris en fait (mis à part ce déficit en classes moyennes).
La bourgeoisie (la “vraie”, celle qui crèverait plutôt que se prétendre classe moyenne) fait tout pour éviter ça et utilise le privé à fond pour ça. Ça donne des trucs super bizarres. Y a un vrai phénomène de “déprise” des écoles publiques dans Paris Centre, entre l’évitement vers le privé et les familles nombreuses (>1-2 enfants) qui préfèrent quitter Paris pour avoir plus grand, avec des écoles qui ferment, dont la réputation chute en quelques années, etc.
Ecole alsacienne…
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Attal
Je ne sais pas ce que ca vaut l’école alsacienne, c’est privé mais en terme de classement ça n’a pas l’air fou…
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/École_alsacienne
Je précise pas pour la qualité des études mais surtout pour montrer lethnocentrie, le réseau, ce genre de choses.
L’école alsacienne cest le pognon qui compte, pas plus.
Je ne sais pas si c’est très différents de toutes les écoles en France. On ne force pas la mixité sociale, toutes les écoles regroupent finalement une catégorie sociale en lien avec le territoire dans lesquels elles sont implantées.
Pas à Paris… Il y a finalement pas mal de HLM un peu partout dans Paris, et la mixité sociale peut être assez “extrême” dans certaines écoles, au sens où tu vas des classes populaires à la petite bourgeoisie (celle qui se pense classe moyenne “sup”), sans passer trop de temps dans la classe moyenne (proportionnellement à ce qu’elle représente dans la population générale). Techniquement, en terme de population dans le “territoire”, il y a moyen d’avoir une grosse mixité sociale à Paris en fait (mis à part ce déficit en classes moyennes).
La bourgeoisie (la “vraie”, celle qui crèverait plutôt que se prétendre classe moyenne) fait tout pour éviter ça et utilise le privé à fond pour ça. Ça donne des trucs super bizarres. Y a un vrai phénomène de “déprise” des écoles publiques dans Paris Centre, entre l’évitement vers le privé et les familles nombreuses (>1-2 enfants) qui préfèrent quitter Paris pour avoir plus grand, avec des écoles qui ferment, dont la réputation chute en quelques années, etc.