La véritable inquiétude devrait résider dans les comportements haineux et la désinformation sur les réseaux sociaux, plutôt que dans l’identité de genre de l’enseignante.
La véritable inquiétude devrait résider dans les comportements haineux et la désinformation sur les réseaux sociaux, plutôt que dans l’identité de genre de l’enseignante.
Je sais pas quoi penser de ça. Autant je m’en sacre que Martine soit ni homme ni femme, autant que je trouve ça cave qu’elle/il sente le besoin de changer ses pronoms.