La phytothérapie c’est pas comme l’homéopathie, ça a des effets et pas toujours ceux qu’on souhaite

  • Eve
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    1 year ago

    “dans le cas global il faut vraiment le vouloir pour se faire du mal avec la phytothérapie” … j’ai envie de mitiger un peu cette affirmation, parce que j’ai commencé à m’intéresser à la phytothérapie justement suite à une mauvaise expérience un peu “banale”, de la tisane de feuille de sauge. Je n’avais aucune idée des effets, juste que j’aimais bien le goût et que j’en avait récupéré un stock, j’ai bu plusieurs tasses de tisane de sauge par jour pendant quelques jours (j’essayais d’arrêter le café). Mes règles suivantes on été vraiment vraiment abondantes, et renseignement pris les effets de la sauge sur le cycle menstruel sont “bien connus” et juste en buvant autant de tisane pendant plusieurs jours j’ai déconné…

    Après dans le même genre de mésaventure, j’ai eu pire avec de l’aspirine prescrite par un médecin de SOS médecin : pour faire tomber la très forte fièvre grippale, il m’a prescrit de l’aspirine à haute dose sur 3 jours, heureusement le deuxième jour j’avais récupéré assez de cerveau pour capter que ce jeune médecin n’avait pas pensé à me demander si j’avais mes règles à ce moment là, et qu’il valait probablement mieux une grosse fièvre que me vider de mon sang…

    Bref, pour revenir à la phytothérapie, si c’est en gélule et qu’on suit le dosage indicatif, tu as probablement raison, mais il y a aussi d’autres formes comme les tisanes sur lesquels aucune précaution d’usage n’est indiquée.